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Sous l'égide du prof. Yasser Magdy Hatata, président de l'Université du Fayoum, le prof. Arafa Sabry Hassan, vice-président chargé des études supérieures et de la recherche, a participé à un colloque organisé par la Faculté d'agriculture en coopération avec le Centre des médias du Nil, affilié au Service d'information de l'Etat, sur le thème « Jeunes et sécurité nationale ». Ce colloque s'est tenu le lundi 6 octobre 2025 à la faculté. En présence de la prof. Bothaina Youssef Fouad, doyenne de la faculté , du prof. Gamal Mahmoud, vice-doyen chargé du service communautaire et du développement environnemental , du prof. Gamal Farag, vice-doyen chargé de l'éducation et des affaires étudiantes , du M. Mohamed Ahmed Hashem, directeur du Centre des médias du Nil , de la Mme. Hanan Hamdy, chargée de programme au Centre ; ainsi que plusieurs membres du corps professoral et étudiants.
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Au début de son discours, le prof. Arafa Sabry Hassan a félicité les nouveaux étudiants pour la rentrée universitaire. Il a également salué les forces armées égyptiennes à l'occasion du 52e anniversaire de la glorieuse victoire d'octobre, un souvenir précieux qui inspire fierté et appartenance, un souvenir que les héros de la nation ont donné de leur précieux sang, garantissant que le drapeau égyptien flottera toujours haut.
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Son Excellence a souligné que l'Egypte est un pays d'une grande stature, et que cette stature restera préservée par ses jeunes, qui représentent la grande majorité du peuple égyptien. Il a souligné que les guerres ne sont plus les guerres traditionnelles du passé, mais ont pris de nouvelles formes, appelées « guerres de quatrième et cinquième générations », ciblant en particulier les jeunes pour porter atteinte à la sécurité nationale en occultant la conscience, la loyauté et l'appartenance.
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Il a expliqué que la sécurité nationale inclut également la cybersécurité des informations afin de protéger la nation contre les menaces internes et externes qui tentent d'exploiter les jeunes pour répandre mensonges et rumeurs, déformer les faits et tromper l'opinion publique. Il a souligné l’importance de la conscience religieuse et familiale, de la modération et de l’évitement de l’extrémisme, en plus de l’importance de médias rationnels et ciblés.
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Il a appelé les jeunes à s'informer auprès de sources fiables et à se méfier des rumeurs et des complots visant l'identité nationale et cherchant à déstabiliser le pays par le biais des réseaux sociaux et des plateformes numériques.
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Son Excellence a ajouté que la cohésion du peuple égyptien est un devoir national et que la protection de la sécurité nationale est une responsabilité collective qui incombe à tous ses citoyens. Il a souligné que la réalisation d'un développement social, politique et économique global exige une prise de conscience sociétale intégrée, conformément à la Vision 2030 de l'Etat pour le développement durable.
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De son côté, la prof. Buthaina Youssef Fouad a souligné l'importance du symposium pour sensibiliser les jeunes aux défis auxquels l'Etat et sa sécurité nationale sont confrontés, notamment la guerre de quatrième et cinquième générations et son impact sur les jeunes et la société. Elle a noté que le symposium met en lumière les méthodes utilisées par les forces hostiles pour semer le chaos et déstabiliser le pays par le biais des réseaux sociaux, soulignant le rôle essentiel des jeunes face à ces défis, car ils représentent la première ligne de défense et la soupape de sécurité de la nation.
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Le prof. Mohamed Ahmed Hashem a expliqué que le symposium vise à sensibiliser les étudiants universitaires, piliers et forces de la nation. Il s'agit de les sensibiliser à ne pas se laisser influencer par les rumeurs et à comprendre les défis et les complots ourdis contre l'Etat égyptien pour compromettre sa sécurité et sa stabilité.
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Dans le même contexte, Mme. Hanan Hamdy a indiqué que le symposium vise à initier les jeunes au concept de sécurité nationale, expliquant que les guerres modernes sont des guerres de l'esprit, visant à démanteler le tissu social et à semer le doute sur les institutions de l'Etat et son leadership politique. Elle a insisté sur le rôle du Service d'information de l'Etat dans la diffusion de la sensibilisation culturelle et le débat sur les questions sociétales afin de renforcer l'appartenance nationale.
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